La Taverne des Hobbits
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Les Villes des Terres du Milieu

Roude

Royaume : Arthedain - Nombre d'habitants : 280

Origine

Elle a grandi autour du trafic fluvial sur le Brandevin au début du Troisième Âge

Fonctions : Centre de récolte pour les fermes de la région; Point d'embarquement pour le fret sur le Brandevin et sur la route de Fornost à Annùminas.

Symbole : Aucun

Description

Petite ville

Après le pillage d'Annùminas, Roude a commencé à décliner pour devenir un repaire de voleurs et de bandits.

Ville située à un carrefour-clé au grand méandre sud du Brandevin, à mi-chemin entre Annùminas et Fornost. En théorie, elle est gouvernée par Cristion de Nencar. Ce chevalier possède une tour qui se dresse au-dessus des ponts et du carrefour, à l'est de la ville, mais Roude ne voit que rarement son seigneur. La ville, qui n'est en fait qu'un village, a été dévastée par la Peste et est depuis à moitié abandonnée. Derrière la façade décatie qu'elle présente, Roude est contrôlée par les gangs et les commerçants corrompus. Les Hobbits qui essayent de coloniser les terres du Grand Méandre du Brandevin viennent effectuer leurs achats en ce lieu, mais ils viennent toujours en nombre et armés.

Roude s'éléve en contraste absolu avec Bree et Fornost. Autrefois oasis bourdonnante à la jonction de la vieille Route du Roi et de le fleuve du Brandevin, Roude apparaît mourant. La plupart de ses cent maisons de pierre sont abandonnées et encombrées de fouillis. Les rats et les souris sont plus nombreux que les résidents dans une proportion de quatre contre un; la propagation de la peste est en train de devenir un problème sérieux, particulièrement depuis l'épouvante de la Grande Peste de 1637 et la fuite d'une grande partie de la population de Roude en ayant d&eacoute;coulée. Entouré de haies et de talus mais sans autre protection, Roude détient plusieurs bas records : sa population a chuté à trente habitants, dont plus de la moitié d'entre eux sont des taverniers et leurs épouses. Les maisons abandonnées sont trois fois plus nombreuses que les résidences occupées; les hommes d'affaires et les usuriers de Roude se sont enfuis en grand nombre après la chute d'Annùminas et après le délabrement ait submergé la Route du Roi, la route principale depuis Fornost Erain vers l'Ouest jusqu'à Annùminas, les collines d'Evendim et les terres au-delà du Lhûn.

Cependant Roude tient bon. Le voyageur épuisé peut s'y régaler de volailles rôties et boire et fumer à satiété dans des établissements hors de prix tels que l'Arbre d'Argent, la Grande Boucle, la minable Auberge du Coucher du Soleil, le Loup Blanc bien tenu et le plus ancien abreuvoir de la ville, le Coq Meurtri (à l'extérieur de ce dernier flotte une enseigne délabrée figurant un coq bien maltraité auquel manque un œuil et de nombreuses plumes). À l'exception de l'établissement bien tenu et de grande classe nommé La Table du Roi, les auberges de Roude sont bien connues pour leur ale coupée d'eau, leurs lits inconfortables et leurs serveuses coupablement accueillantes, elles toutes étant mariées aux cupides aubergistes de Roude.

Désormais seulement visité trop souvent par de mystérieux étrangers errants, il y a deux bourgs en Roude. De jour, Roude est un centre de commerce fluvial agité quoique déclinant mais sous couvert des tén≖bres, il devient en partie une ville d'intrigues, de rumeurs, de menaces - et bien pis. Roude n'est pas un endroit où flâner dans les rues une fois l'obscurité venue, seul et désarmé, si vous êtes étranger. Avec une bière de trop dans la panse, vous pouvez vous réveiller délesté de votre ceinture et peut-être d'un litre de votre sang. Le seul bien de loin le plus crucial, que vous pouvez avoir à Roude, c'est un ami qui se tiendra et se battra à vos côtés en cas de besoin. (Restez longtemps et vous pouvez être sûr que le besoin viendra). Des rapports sur une bande de bandits de grand chemin vivant dans les terres sauvages au Nord du bourg n'ont rien fait pour calmer les frayeurs du voyageur.

Roude s'élève en contraste absolu avec Bree et Fornost. Autrefois oasis bourdonnante à la jonction de la vieille Route du Roi et de la Rivière Brandevin, Roude apparaît mourant. La plupart de ses cent maisons de pierre sont abandonnées et encombrées de fouillis. Les rats et les souris sont plus nombreux que les résidents dans une proportion de quatre contre un ; la propagation de la peste est en train de devenir un problème sérieux, particulièrement depuis l'épouvante de la Grande Peste de 1637 et la fuite d'une grande partie de la population de Roude en ayant découlée. Entouré de haies et de talus mais sans autre protection, Roude détient plusieurs bas records : sa population a chuté à trente habitants, dont plus de la moitié d'entre eux sont des taverniers et leurs épouses. Les maisons abandonnées sont trois fois plus nombreuses que les résidences occupées ; les hommes d'affaires et les usuriers de Roude se sont enfuis en grand nombre après la chute d'Annùminas et après que le délabrement ait submergé la Route du Roi, la route principale depuis Fornost vers l'Ouest jusqu'à Annéminas, les Collines d'Evendim et les terres au-delà du Lhûn. Cependant Roude tient bon. Le voyageur épuisé peut s'y régaler de volailles rôties et boire et fumer à satiété dans des établissements hors de prix tels que l'Arbre d'Argent, la Grande Boucle, la minable Auberge du Coucher du Soleil, le Loup Blanc bien tenu et le plus ancien abreuvoir de la ville, Le Coq Meurtri (à l'extérieur de ce dernier flotte une enseigne délabrée figurant un coq bien maltraité auquel manque un œil et de nombreuses plumes). À l'exception de l'établissement bien tenu et de grande classe nommé La Table du Roi, les auberges de Roude sont bien connues pour leur ale coupée d'eau, leurs lits inconfortables et leurs serveuses coupablement accueillantes, elles toutes étant mariées aux cupides aubergistes de Roude.

Désormais seulement visité trop souvent par de mystérieux étrangers errants, il y a deux bourgs en Roude. De jour, Roude est un centre de commerce fluvial agité quoique déclinant, mais sous couvert des ténèbres, il devient en partie une ville d'intrigues, de rumeurs, de menaces - et bien pis. Roude n'est pas un endroit où flâner dans les rues une fois l'obscurité venue, seul et désarmé, si vous êtes étranger. Avec une bière de trop dans la panse, vous pouvez vous réveiller délesté de votre ceinture et peut-être d'un litre de votre propre sang. Le seul bien, de loin le plus crucial, que vous pouvez avoir à Roude, c'est un ami qui se tiendra et se battra à vos côtés en cas de besoin. (Restez longtemps et vous pouvez être sûr que le besoin viendra.) Des rapports sur une bande de bandits de grand chemin vivant dans les terres sauvages au Nord du bourg n'ont rien fait pour calmer les frayeurs du voyageur.

Royaume : Arthedain