[Humeur] Eyes Wide Pourpre

Il y avait ce dimanche 6 mars 2005 au soir le film "Eyes Wide Shut" de Stanley Kubrick sur France 2.
Face à lui, "Les rivières pourpres" sur TF1. Ayant vu au moins par trois fois "Eyes Wide Shut", j'opte pour "Eyes Wide Shut".
A l'issue du premier quart d'heure, je change de chaîne (zapper ?) au moment même où N. Kidman reproche tant à son Cruise de mari (sans doute la gène que procurent les femmes lorsqu'elles râlent et ont - suprême horreur - raison).
Là(s) j'ai l'occasion de découvrir pour quelques minutes tout au plus "Les rivières pourpres".
Me voilà surpris, étonné même qu'un simple téléfilm soit opposé à "Eyes Wide Shut".
Car de téléfilm il n'en a pas que les symptômes, mais aussi les causes.
Etonné, surpris même que des êtres humains, constitués globalement comme vous et moi, aient pu penser qu'un tel téléfilm ait mérité ne serait ce qu'un subreptice instant qu'on aborde son existence, bref qu'on en parlât.
N'en parlons plus donc.
Et dimanche soir, ce 6 mars 2005 au soir, sur France 2, passait le dernier Kubrick, "Eyes Wide Shut".
Ou comment le joug de la pensée masculine s'étend sur un monde peuplé pour quasi moitié d'hommes et de femmes, comment notre société est décadente telle une romaine - pourpre -, ou comment les couples se déconstruisent, s'étiolent et se perdent pour peut être se retrouver.
Hier, dimanche 6 mars 2005 au soir, sur France 2 il y avait un film.
Et un bon.
Face à lui, "Les rivières pourpres" sur TF1. Ayant vu au moins par trois fois "Eyes Wide Shut", j'opte pour "Eyes Wide Shut".
A l'issue du premier quart d'heure, je change de chaîne (zapper ?) au moment même où N. Kidman reproche tant à son Cruise de mari (sans doute la gène que procurent les femmes lorsqu'elles râlent et ont - suprême horreur - raison).
Là(s) j'ai l'occasion de découvrir pour quelques minutes tout au plus "Les rivières pourpres".
Me voilà surpris, étonné même qu'un simple téléfilm soit opposé à "Eyes Wide Shut".
Car de téléfilm il n'en a pas que les symptômes, mais aussi les causes.
Etonné, surpris même que des êtres humains, constitués globalement comme vous et moi, aient pu penser qu'un tel téléfilm ait mérité ne serait ce qu'un subreptice instant qu'on aborde son existence, bref qu'on en parlât.
N'en parlons plus donc.
Et dimanche soir, ce 6 mars 2005 au soir, sur France 2, passait le dernier Kubrick, "Eyes Wide Shut".
Ou comment le joug de la pensée masculine s'étend sur un monde peuplé pour quasi moitié d'hommes et de femmes, comment notre société est décadente telle une romaine - pourpre -, ou comment les couples se déconstruisent, s'étiolent et se perdent pour peut être se retrouver.
Hier, dimanche 6 mars 2005 au soir, sur France 2 il y avait un film.
Et un bon.