
Le livre est en français, les textes du jeu sont paramètrables. Les voix sont en VO, avec un sous-titrage (et c'est pas facile de comprendre le langage des gangstas ricains

Jeux-Vidéo.com a écrit:San Andreas : un café noir et serré
L'affaire du mini-jeu Hot Coffe de GTA San Andreas est loin d'être terminée. Après l'ERSB, c'est une autre institution qui se pose des questions sur cette affaire et sur l'honnêteté de Take 2 qui a délibérément commercialisé des versions du jeu intégrant le mini-jeu somme toute trop facilement accessible. La chose, en effet, ne plaît guère à la Federal Trust Commission qui ouvre donc sa propre enquête sur la question avec à la clef une possible amende pour l'éditeur ainsi que l'obligation de remplacer non seulement les versions du jeu invendues (par des versions ne contenant pas le mini-jeu) mais également les copies déjà vendues en procédant à des échanges. De quoi saler encore une addition déjà bien assaisonnée. Que voilà un coûteux coup de pub.
Jeux-Vidéo.com a écrit:San Andreas et Hot Coffee, la suite
La saga de l'été continue. Hot Coffee fait parler de lui comme jamais. Cette fois, après Hilary Clinton, l'ERSB et la Federal Trust Commission, c'est une mamie de 85 ans qui compte bien faire des misères à Take 2 Interactive. Après avoir pris connaissance du phénomène Hot Coffee, celle-ci qui avait acheté GTA San Andreas l'année dernière pour son petit fils a décidé d'attaquer l'éditeur en justice (oui, c'est la mode !). Dans l'histoire, la classification de l'ERSB au niveau du public concerné par ce genre de jeu ne semble pas vraiment au point. Même si toute cette histoire peut servir de pub, Take 2 ne deviendrait-il pas une tête de turc ?
Jeux-Vidéo.com a écrit:Haro sur le jeu vidéo : le LA Times s'énerve
L'affaire Hot Coffee a pris des proportions démesurées, tout le monde le sait, remontant jusqu'au sénateur Hilary Clinton qui a, depuis longtemps, fait de la lutte contre l'influence néfaste des jeux vidéo son fer de lance (rappelons qu'elle a ordonné une étude de 90 millions de dollars qui ne vise qu'à prouver qu'ils fabriquent des tueurs). Une affaire de plus qui irrite tout amateur souffrant alors de l'hypocrisie qui consiste à reprocher au jeu vidéo ce qu'on trouve dans tous les autres médias ou activités. Et bien une fois n'est pas coutume, c'est un journal généraliste qui monte au créneau, le LA Times publie en effet un article directement adressé à Hilary Clinton, je ne résiste pas à l'envie de vous en traduire un extrait que voici et qui vaudra tous les résumés :
"Chère sénateur Clinton [...] j'aimerai attirer votre attention sur un autre jeu dont l'animosité et la violence incessante captivent des millions de jeunes - un jeu qui suscite des pensées agressives dans l'esprit de ses pratiquants et dont certains ont commis des actes de violence réels et des agressions sexuelles après y avoir joué.
Je parle, bien sûr, du football universitaire."
La suite de l'article, signé Steven Johnson, rappelle que les jeux vidéo sont loin d'être une activité décérébrante et s'appuie surtout sur des statistiques récentes démontrant que la violence juvénile n'a pas augmenté depuis la démocratisation des jeux dits "violents", contrairement à ce que pensent l'opinion publique et notre copain Jack Thompson, elle a en réalité baissée. Une saine lecture, mais en anglais.
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