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Héléna Goldstein
Librairie de l'Incunable Souveraineté -

Le Samedi 11 Novembre 1995 - 13h25 / 13h35 - Echanges avec Helena - Lieu : Rennes - Librairie Incunable Souveraineté- Session N°13 du 26/03/2024

Nezarch va voir Helena Goldstein et lui demande :
- "Ce charmant jeune homme est un habitué de de votre librairie ?"
- "Oui ! Comme l'était son père." répond Helena Goldstein.
- "Ah... C'est une famille de la région ?" demande Nezarch.

Helena Goldstein sourit et répond :
- "Vous savez, ici, Monsieur, il y a certaines traditions qui sont importantes de respecter."
- "Certes..." réagit Nezarch.
- "Avez-vous des copies des livres qu'ont emprunté ce jeune homme ?" demande Ebilan.
- "Vous semblez vous intéresser à ce jeune Armand, Monsieur." évoque Helena Goldstein d'un air amusé.
- "Il a piqué ma curiosité. Nous avons beaucoup discuté de la ville d'Ys et des traditions autour de la ville d'Ys et j'avoue qu'il a piqué ma curiosité. J'aimerais en savoir plus..." indique Ebilan.
- "Bien sûr ! Malheureusement pour l'heure, il me faudrait un peu de temps pour essayer de vous retrouver les mêmes ouvrages, si c'est réellement ça que vous voulez." indique Helena Goldstein.
- "Mais c'est ça qu'on veut à savoir "Les Chroniques et Ystoires des Bretons" de Pierre Le Baud, "La vie de Saint Gwénolé" d'Albert Le Grand, "La Demoiselle d'Ys" de Robert W. Chambers et "La Légende de la ville d'Ys" de Charles Guyot." demande Nezarch.
- "J'aimerai savoir qui est ce jeune homme. C'est une famille, un petit peu, en vue, j'imagine, de la région, de Rennes ?" demande Ebilan.

Helena Goldstein retourne s'asseoir et puis annonce aux deux Nephilim :
- "Mais approchez-vous, messieurs. Sachez bien une chose ici, il est dans les traditions de cette librairie d'être, tout à fait, discret et de conserver un certain secret sur les origines de notre clientèle."
- "C'est tout en votre honneur !" indique Nezarch.
- "Et il en va également pour vous, ne vous inquiétez pas pour cela. On peut comprendre que, peut-être, que vos origines pourraient vous créer, aussi, à vous des ennemis..." évoque Helena Goldstein.
- "Nous venons complètement en paix. Nous sommes dans une attitude de compréhension et scientifique quasiment. Nous n'avons aucune velléité, de prise d'intérêt. Nous sommes des journalistes. Nous sommes là pour étayer les faits, la ville d'Ys, toutes ces traditions. Qu'est-ce qui est vrai ? Qu'est-ce qui est du fantasme ? C'est ça notre intérêt." explique Ebilan.
- "Je comprends. Comprenez bien que dans ces histoires-là, moi, je ne suis là que pour entretenir et restaurer ces ouvrages." indique Helena Goldstein en montrant un très vieux livre dont une partie de la reliure est abîmée puis ajoute : "Voyez, je vais m'atteler prochainement à réparer ce livre que qu'il a fallu aller acheter non loin de la ville d'Hong-Kong..."
- "Carrément !! Hong-Kong ! Mais de quoi parle ce livre ?" demande Ebilan.
- "Je ne maîtrise pas cette langue, je vous avouerai, mais j'ai été diligenté pour le récupérer." explique Helena Goldstein.
- "Très bien ! Vous êtes neutre." évoque Ebilan.
- "Qui est neutre sur cette terre ? Je ne crois pas en cette notion de neutralité même si ce lieu pourrait faire penser à cela mais je n'y crois pas monsieur. Je ne pense pas que vous êtes neutre vous non plus..."" évoque Helena Goldstein.
- "Je ne cherche que la vérité." lance Ebilan.
- "Est-ce vous monsieur Lagarde ?" demande Helena Goldstein.
- "Tout à fait !" confirme Ebilan.
- "Puisque le docteur Parangon a souhaité que je puisse vous laisser cet ouvrage pour quelques jours." indique Helena Goldstein en ouvrant un tiroir d'où elle sort un vieux livre assez petit en cuir, ancien dont elle semble prêter une grande attention.
- "Ah ! Je suis vraiment touché ! Je ne m'attendais pas une telle confiance de sa part... J'accepte et sachez que je vais prendre extrêmement soin. Je vous le rapporte d'ici 2 jours afin de pouvoir en extraire la substantifique moëlle." remercie Ebilan.

L'Hydrim regarde le livre et constate qu'il est écrit en allemand et traite d'alchimie. Helena Goldstein demande alors :
- "Est-ce qu'il serait possible pour vous de repasser en fin de journée ?"
- "Ah oui ! D'accord ! Bien sûr ! Evidemment !" répond Ebilan, le livre entre les mains.
- "Le temps que nous puissions préparer les ouvrages en question." explique Helena Goldstein.
- "Mais avec plaisir ! En fin de journée ! On va vous laisser travailler tranquillement..." répond Nezarch.
- "Très bien ! On vous souhaite un bon appétit !" indique Helena Goldstein.
- "De même ! Bon appétit ! Bon courage et nous nous retrouvons en fin de journée..." répond Nezarch.

Le Samedi 11 Novembre 1995 - 11:00 / 12:45 - Rencontres à la Librairie - Lieu : Rennes - Librairie Incunable Souveraineté- Session N°13 du 26/03/2024

Ebilan au volant de la 2Cv roule à une allure modérée vers Rennes. Dans la voiture, les deux Nephilim discutent. Nezarch évoque :
- "Donc, on va à la librairie de l'incunable souveraineté !"
- "Il devrait donc y avoir des gens un peu..." confirme Ebilan.
- "Exactement !! Parce que le samedi, le mec nous a dit que..." évoque Nezarch.
- "Il y avait des invités spéciaux..." ajoute Ebilan.
- "Il y avait des invités spéciaux..." confirme Nezarch.
- "Alors, est-ce que c'est un diner de cons ou autre chose ? On verra..." évoque Ebilan.
- "C'est ça ! Le docteur Parangon..." indique Nezarch.
- "Oui ! Avec son assistant chelou..." ajoute Ebilan.
- "Le docteur Parangon a évoqué le samedi le passage de clients qui aiment s'entretenir avec des visiteurs éclairés." précise Nezarch.
- "Bon, on arrive sur Rennes. A ton avis, je vais me garer où ?" demande Ebilan.
- "Tu peux aller te poser sur les quais, on ne sera pas très loin de la librairie sans être trop près non plus. On va pouvoir y aller à pied." propose Nezarch.
- "C'est entendu !" confirme Ebilan.

En arrivant sur Rennes après, environ, une heure de route, Ebilan s'engage dans le centre-ville et vient se garer sur les quais à une dizaine de minutes du centre historique de la ville. Les rues de la capitale bretonne sont très calmes en ce jour férié. Ils vont croiser quelques anciens combattants portant leurs médailles de cérémonie et leurs drapeaux ainsi que les riches familles catholiques sortant de la messe.

Les deux Nephilim se dirigent vers le vieux Rennes, prennent la ruelle et au bout, emprunte le passage étroit qui permet de rejoindre une place où se tient, dans le fond la librairie de l'incunable souveraineté. La vieille enseigne représentant un lion mangeant un soleil grince sinistrement.

Nezarch observe les autres bâtiments et constate qu'il s'agit de vieux bâtiments à colombages qui semblent être des logements habités mais aucun individu n'est présent dans la rue. Nezarch suivi d'Ebilan passent devant la vitrine de la boutique et regardent à l'intérieur. Ils voient une jeune femme brune assise sur le bord du bureau dans le fond de la librairie qu'ils ne semblent pas connaitre. Elle semble en discussion avec une personne assise derrière le bureau mais l'angle de vision ne permet pas de voir cette personne. Nezarch dit alors à Ebilan :
- "Il y a quelqu'un qui discute avec Parangon... Ma foi, ça me semble logique... Il a un établissement public après tout... On va entrer !"
- "Oui !" répond Ebilan.

Nezarch entre en premier suivi d'Ebilan. Ils contournent le rayonnage de livres pour observer le bureau du docteur Parangon mais sont surpris de voir que le docteur Parangon n'est pas présent. Deux femmes sont présentes. La plus jeune qui est assise sur le rebord du meuble a été observée de la fenêtre tandis que la seconde est beaucoup plus vieille, la peau ridée, les cheveux gris coiffés en chignon, bien habillée. Puis un homme, assez jeune, très bien habillé, en costume blanc et noir avec une hermine sur le col de sa veste. Il était en train de consulter un livre lorsqu'il regarde les deux Nephilim.

La jeune femme tourne la tête vers les deux Nephilim et les observe de manière très insistante. Sa manière de regarder est assez particulière puisqu'elle fixe les deux nouveaux clients sans détourner le regard. La vieille femme se lève, elle pose sur la table un vieux livre qu'elle tenait entre les mains et se dirige vers les deux Nephilim. La jeune femme continue d'observer attentivement les deux Nephilim pendant que l'autre femme s'adresse aux deux Nephilim :
- "Bonjour messieurs" dit-elle avec un léger accent de l'est.
- "Bonjour" répond Nezarch.

La femme avance encore de quelques pas et Nezarch fait de même. Dans le même temps, les Nephilim constate que l'homme observe les deux Nephilim un livre à la main. Nezarch tente de repérer le titre du livre mais est trop loin pour y arriver. Puis Ebilan prend la parole :
- "Bonjour messieurs, dames. Nous nous présentons, nous sommes de férus amateurs de de littératures traditionnelles bretonnes et de folklore ésotérique."
- "D'accord ! Vous recherchez quelque chose de particulier, peut-être, Messieurs ?" demande Helena Goldstein.
- "Oui ! Oui ! Je me passionne et d'ailleurs, comme mon ami, pour la ville d'Ys." évoque Ebilan avec un grand sourire niais.
- La femme a une réaction de surprise et s'est tournée vers le jeune homme.
- L'homme réagit également et observe plus attentivement les deux Nephilim.
- "Oui ! Bien sûr... Nous avons un certain nombre d'ouvrages qui pourraient vous intéresser." indique Helena Goldstein.
- "Je vais être franc avec vous. Je suis journaliste et il semblerait qu'il y ait un certain nombre de littérature qui est en train de sortir sur la ville d'Ys qui devraient révolutionner, un petit peu, notre connaissance du monde sur cette ville mythique et surtout son avenir, ce qu'il va y advenir et j'ai entendu parler d'un livre qui devrait sortir. J'aimerais savoir ce que vous, vous en penser."

L'homme s'est alors approché et, au moment où Helena Goldstein devait s'exprimer, l'homme intervient et dit :
- "Excusez-moi de vous interrompre messieurs. Bonjour ! Je me présente Armand de Barreau. Je suis très intéressé par ce que vous venez de dire. Je m'intéresse également à la ville d'Ys. Peut-être que nous pourrions partager nos informations. Vous dites que vous êtes journaliste ?"
- "Tout à fait ! Pour "Point de vue, images du monde."" évoque Ebilan d'un ton hésitant et peu convaincant et avec le sourire.
- "D'accord ! Journaliste... Intéressant et vous parliez d'un ouvrage qui va bientôt sortir ?" demande Armand en montrant bien qu'il n'a pas trouvé Ebilan crédible.
- "Oui, tout à fait ! Corps 9, un éditeur de Nantes va sortir un livre avec des approches très, très, très, très particulières, avec un angle qu'on n'avait jamais vu, je pense, dans la littérature qui s'intéresse à ce genre-là sur les mythes et légendes de Bretagne et avec des évocations très riches sur la ville d'Ys. Je peux vous citer l'avant-propos du livre qui est très évocateur des connaissances de l'auteur." raconte Ebilan en regardant attentivement les réactions de l'homme.

Armand de Barreau semble comprendre les propos d'Ebilan et écoute avec attention l'Hydrim. Pendant ce temps, Helena Goldstein a regagné le bureau pour aller voir la jeune femme. Armand de Barreau demande alors :
- "Et vous avez pu consulter cet ouvrage ?"
- "Hé non... Il est censé sortir la semaine prochaine mais j'imagine que la personne qui l'a écrite s'est inspiré d'autres ouvrages plus confidentiels puisque c'est des choses qui n'apparaissent pas, forcément, dans la littérature, on va dire, mainstream." évoque Ebilan en pliant deux doigts à chaque main puis ajoute : "Cette librairie m'a l'air d'être authentiquement underground pour commencer mon enquête..."
- "En effet ! Vous avez raison, seul quelques initiés y viennent..." évoque Armand de Barreau.
- "Pourriez-vous me parler de notre charmante hôtesse ?" demande Ebilan.

Nezarch constate qu'Helena s'est approchée de la jeune femme, lui met la main sur l'épaule en constant qu'elle est toujours en train d'observer attentivement les deux Nephilim. Helena Goldstein lui demande :
- "Alors, ça va Chaïda ?"
- "Oui, oui, ça va, ça va... C'est... des choses que j'ai déjà vues." répond la jeune femme avec cette impression que Chaïda vient de reprendre ses esprits après la question d'Helena.

Nezarch qui s'est approché des deux femmes les interpelle :
- "Monsieur Parangon n'est pas là aujourd'hui. Nous avions eu la joie de le voir."
- "Non, disons qu'il est à l'étage en train de travailler..." répond Helena Goldstein.
- "Très bien... Donc vous vous occuper de l'accueil des visiteurs à sa place ?" demande Nezarch.
- "Aujourd'hui ils sont peu nombreux. Vous êtes les premiers clients mis à part Armand mais qui lui, vient régulièrement." évoque Helena Goldstein.
- "Et vous êtes, vous-même, une habituée ou vous tenez aussi la boutique ?" demande Nezarch.
- "Nous travaillons ici. Je vis ici depuis, à présent, un certain nombre d'années." répond Helena Goldstein.
- "Très bien ! Donc vous travaillez toutes les deux ici. Vous allez, alors, peut-être, pouvoir me guider sur nos recherches ?" demande Nezarch.
- "Oui, en effet !" répond Helena Goldstein.

Nezarch constate sur la table une pile de livres qui concernent, apparemment, que la ville d'Ys et demande :
- "Ces livres peuvent être pris ?"
- "Ce sont les livres qu'Armand nous a demandé..." indique Helena Goldstein.

Pendant ce temps, Armand a commencé se déplacer dans la librairie tout en continuant la discussion et dit :
- "Je ne vous ai jamais vu dans cette librairie. Vous êtes juste passage ?"
- "Tout à fait ! En fait, je viens de Paris." indique Ebilan.
- "D'accord..." réagit Armand de Barreau.
- "C'est un sujet que je creuse depuis moultes années..." explique Ebilan.
- "Mais une question me vient. Comment avez-vous découvert cette librairie monsieur ?" demande Armand de Barreau.
- "Mais, écoutez, par hasard... Vous ne croirez pas." répond Ebilan.
- " Non ! Je ne vous crois pas ! On ne découvre pas cette librairie par hasard…" réagit Armand de Barreau.
- "Non, en fait, je faisais un reportage photo sur la Bretagne et que pensez-vous des dragons ? Franchement, sur certaines de mes photos, il y avait vraiment cette impression de dragon, qu'en pensez-vous ?" demande Ebilan.

L'homme continue à avancer, à marcher dans les rayonnages en gardant pendant quelques secondes le silence. Puis Ebilan reprend la parole :
- "J'ai fait des rêves et c'est très intéressant ! C'est pour ça que je suis venu ici."
- "C'est tout à fait surprenant ce que vous dites là." indique Armand de Barreau.
- "Quelque-chose m'attire ici. Ça fait, quand même, au moins, 25 ans que je suis journaliste. J'ai commencé, vraiment, à glaner des choses sur la Bretagne sur..." explique Ebilan.
- "Alors, excusez-moi, mais vous vous appelez comment ?" demande Armand de Barreau.
- "Jean-Patrick Lagarde." répond Ebilan.
- "Monsieur Lagarde, je pense que nous aurions des choses à échanger parce que vous parlez de ville d'Ys. Vous avez évoqué ce sujet qui m'intéresse. Vous évoquez un dragon, sujet qui m'intéresse également. J'ai le sentiment que nous avons, en ce moment, des points communs." évoque Armand de Barreau.
- "Ah ! Vous, aussi, l'avez vu !" réagit Ebilan.
- "Je l'ai vu... Disons que je fais partie d'une organisation qui recherche des informations sur ce sujet-là." annonce Armand de Barreau.
- "Ah ! C'est intéressant... Alors quel type d'organisation ? Vous êtes plutôt lié au ministère du Patrimoine ou quelque chose comme ça ?" demande Ebilan.
- "Vous savez ici, nous sommes dans un lieu un peu à part. Je ne sais pas si vous avez notion de là où vous mettez les pieds ?" demande Armand de Barreau.
- "Exactement ! J'ai trouvé, qu'à un moment donné, on était dans Rennes et puis d'un seul coup, nous étions dans un endroit différent, très médiéval, finalement. On avait changé d'atmosphère. C'était très, très, très, très perturbant et aussi très sympathique." explique Ebilan.
- "Vous savez avant que j’aie la tâche de venir prendre des renseignements ici. Mon père, auparavant, avait aussi cette tâche-là dans l'organisation à laquelle j'appartiens et, à priori, cela fait plusieurs générations que ma famille a en charge d'être en relation avec cette librairie et les habitués..." explique Armand de Barreau.
- "D'accord ! Vous devez avoir énormément d'anecdotes. Rien que la personne qui nous a accueilli, vous devez, un petit peu, la connaître ? Elle doit avoir, elle-même, un certain âge. Elle doit avoir connu énormément d'érudits, de poètes." indique Ebilan.
- "Ce qui va, peut-être, vous surprendre mais c'est qu'à priori, tous mes ancêtres ont toujours connu ce docteur Parangon." indique Armand de Barreau.
- "Alors, oui, c'est très, très, très, très perturbant comme information mon cher Armand ! Est-ce que je peux me permettre de vous appeler Armand ?" demande Ebilan.
- "Mais je vous en prie, Monsieur Lagarde." répond Ebilan et ajoute : "Je souhaite avoir une un colloque avec vous. Mon ami est, d'ailleurs, très intéressé lui aussi."
- "Ah ! Mais qu'il vienne." suggère Armand de Barreau.
- "Mais quel est le nom de votre organisation ?" demande Ebilan.
- "Je fais partie de l'Ordre de l'Hermine." répond Armand de Barreau.
- "D'accord... C'est quelque-chose de plus traditionnel ? Vous faites quelque-chose d'un peu plus revival comme à la "Alan Stivell" ?" demande Ebilan.
- "Je joue avec vous franc-jeu, je pense qu'il serait bon, aussi, que vous, de votre côté, vous arrêtiez avec une certaine mascarade puisque votre histoire de journaliste." indique Armand de Barreau.
- "Ah si ! Je suis journaliste, je peux vous le prouver." réagit Ebilan.
- "Soit ! Vous êtes journaliste mais vous êtes qui ?" demande Armand de Barreau.
- "Je suis Jean-Patrick Lagarde, journaliste. Alors, effectivement, je ne travaille pas, forcément, pour un périodique particulier. Je suis freelance." répond Ebilan.
- "Alors qu'est-ce qui vous amène vraiment ici ?" demande Armand de Barreau.
- "Ecoutez, je pense passe quelque quelque-chose vis-à-vis de la ville d'Ys, extrêmement importante pour, au moins, la région !" répond Ebilan.
- "Et vous, Monsieur ?" dit Armand en interpelant Nezarch.
- "Comme vous le disais mon ami, dans cette recherche, on est plutôt des indépendants." indique Nezarch.
- "Des indépendants... D'accord... J'ai, peut-être, une petite idée là-dessus mais je comprends votre éventuelle réserve. Sachez qu'ici, l'avantage des lieux de ce que m'a appris mon père, c'est que la parole est assez libre." explique Armand de Barreau.
- "D'accord... Donc, si je comprends bien, on n'a pas affaire à des organisations visant à occulter la voix d'êtres qui pourraient dire des choses vis-à-vis d'une réalité cachée ?" évoque Ebilan.
- "Je n'ai jamais rencontré le propriétaire de ces lieux mais de ce qu'on m'a dit, il a réussi à faire en sorte que tous les mouvements et sociétés secrètes peuvent venir ici et s'entretenir avec toute personne qui aurait un intérêt à venir dans ces lieux et que nous laissons les armes à l'entrée. Il y a ici ce qu'on appelle une Pax Romana." explique Armand de Barreau.
- "Excusez-moi mon ami, mon cher Armand. J'aimerais m'entretenir avec mon ami deux petites minutes..." suggère Ebilan.
- "Mais bien sûr, je vous en prie..." répond Armand de Barreau.
- "Mais continuez votre phrase, vous alliez dire quelque-chose..." évoque Nezarch.

L'homme sourit et s'éloigne de quelques mètres.


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